Valbacol... la nature est bien là, malgré la route et les rares bâtiments. Après avoir croiser quelques lapins dans la garrigue, on entend le chant d'amour des milans et le cri strident du choucas. C'est juste avant de fouler ces terres rouges, fascinantes, uniques, s'enflammant au couchant.
Valbacol, c'est aussi Lou Pastre et ses cabres. On tend l'oreille et on devine le doux son de leur clochette, tellement plus agréable que celui de la D9. Arrête toi un instant l'ami et vient donc lui passer le bonjour, troisième argelas à gauche après le grand pin. Tu ne seras pas déçu.
Valbacol, c'est comme un poumon pour la cité, à deux pas de la civilisation. Un joli bout de Païs très convoité, et pas forcément pour le meilleur.
Ami, réveille toi et rejoins les chemins qui mènent aux horizons sauvages. La marche est encore longue et elle démarre ici, à Valbacol.